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1er accélérateur des 146 000 entreprises de la Métropole

Ces start-up qui marchent sur l'eau

Parce que l'eau est une denrée rare, la filière a plus que jamais besoin d'innovations. À l'occasion des premières rencontres Business Eau, organisées au Palais de la Bourse, une douzaine de jeunes entreprises se sont distinguées par leurs solutions innovantes répondant aux problématiques actuelles.
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    Mercredi 5 juillet 2017

     

    Elles sont douze à avoir été retenues pour présenter leur offre à des acheteurs de grands comptes ou de collectivités après avoir été sélectionnées précisément parce que leurs solutions pouvaient correspondre à besoin d’achats. Elles ont eu droit à une présentation cadencée en mode pitch. Trois d'entre elles ont été plébiscitées par le vote des participants.

    Mais toutes avaient de l’eau à apporter au moulin de cette filière aux enjeux divers et variés, marquée par des exigences réglementaires croissantes (notamment pour les collectivités locales et les maîtres d’ouvrage) sur la qualité de l’eau distribuée, et ce, dans un contexte de big bang territorial de concentration (Au 1er janvier 2020, il ne devrait plus y avoir que 1 500 à 3 500 services d’eau et d’assainissement contre aujourd’hui 35 160 aujourd'hui). Une obligation de la loi NOTRe pour en finir certes avec l’émiettement des services, stygmatisé dans de nombreux rapports de la Cour des comptes ou du Conseil d’État mais aussi, indique le législateur, pour mutualiser les capacités d’investissement de façon à « relever les défis actuels et à venir dans la gestion des réseaux d’eau et d’assainissement », un des points faibles de la gestion locale de l'eau.

    Dans ce contexte, et plus globalement tant les enjeux liés à la préservation de la ressources sont nombreux, l’innovation a donc toute sa place.

    Qui sont-elles ces entreprises du territoire qui cherchent à autoréguler les flux, traiter et recycler les eaux usées, valoriser les boues issues des stations d’épuration, éradiquer les polluants grâce à la purification bio-solaire, optimiser l’arrosage des villes grâce à la télé-relève, établir l’ADN thermique des bâtiments, faire des eaux usées une mine de calories énergétiques, abondantes renouvelables et gratuites …

    Certaines d’entre elles préfigurent même ce que pourraient être les stations d'épuration de demain : de véritables usines de valorisation de leurs sous-produits (eaux traités, boues, etc.) pour devenir productrice d’énergie, de matières premières, et/ou d’eau recyclée de qualité … Petite revue.

     

    F-Reg : Une solution contre les inondations ?

    Flow Regulation System. « F-Reg comme régulation des flux », acquitte son directeur général Emmanuel Curinier. L’entreprise niçoise, née en 2014 dans l'incubateur Paca Est, a imaginé un système de clapets qui permet aux collecteurs d'eaux pluviales de jouer un rôle supplémentaire en cas de fortes pluies : stocker de l'eau en plus de l'évacuer.

    « Cela a débouché sur un concept innovant : l’auto-régulation. On va adapter ce clapet à piston, qui fonctionne comme une soupape ou un détendeur, sur un réseau nouveau ou existant. On peut ainsi éviter de l’amont vers l’aval les pics de débit qui provoquent inondations (qui coûteraient pas moins de 850 M€ chaque année, ndlr), débordements par temps de pluie mais aussi, ruissellements et les rejets d’eaux usées. C’est un complément aux bassins de rétention, et l’on peut potentiellement doubler le stockage des eaux ».

    La solution, déjà plusieurs fois distinguée dans des concours nationaux, peut ainsi permettre aux exploitants de réseaux et/ou aménageurs publics et privés de faire l’économie d’un investissement dans des bassins de rétention enterrés (une obligation réglementaire pour pallier le phénomène des crues).

    Après trois ans de R&D, l’entreprise a démarré la commercialisation cette année et a déjà signé pour une quarantaine d’installations. L’étape d’après ? la connectivité de ses clapets en vue de constituer un réseau intelligent capable suivre en temps réel le fonctionnement des réseaux d’assainissement.

     

    ATR Créations : Faire des économies en réutilisant les eaux de process

    Elle n’a plus rien d’une start-up. Son histoire a démarré il y a 28 ans, mais depuis la reprise par Jean-Philippe Hecq il y a six ans, elle a quelque peu modifié son ADN.

    Historiquement fabricant de machines, l’entreprise de Lançon-de-Provence conçoit, fabrique et assemble des unités mobiles ou transportables « pour diverses applications, notamment en déshydratation des boues et traitement des eaux de process ». Mais, insiste-t-il, « nos solutions sont conçues POUR et s’adressent AUX PME, qui ont de petits volumes à traiter mais qui aimeraient, elles aussi comme les grands comptes, faire des économies en réutilisant leurs eaux une fois traitées ».

    Le dirigeant estime avoir apporté au marché une solution qui n’existait pas et reste en quête de partenariats « pour trouver d’autres technicités en vue de proposer des solutions plus globales et pouvoir s’internationaliser car ce qui est vrai en France dans nos domaines l’est encore plus ailleurs ». 

    En travaillant avec une autre entreprise, la PME provençale a par exemple pu répondre à la problématique d’une société de Bourges qui « nettoie les wagons de fret de la SNCF » et qui avait un impact environnemental fort avec des rejets en rivière. « On a apporté une solution globale qui a permis de respecter un arrêté préfectoral, chose qu’elle n’était pas arrivée à faire ces quatre dernières années, et cerise sur le gâteau : 50 % à 60 % de leurs eaux sont réutilisées, du coup, moins de prélèvement et de rejets dans le Cher ».

     

    Cleef system : Valoriser les boues grâce à une friteuse

     

    Jean-Marc Van de Kerkoeve, CEO de Cleef System, une start-up de Chateaurenard qui s’intéresse à la capacité énergétique des boues issues de la station d’épuration, est sans doute un inconditionnel du « churros ». Pour vulgariser sa technologie (brevetée) - une « première mondiale » -, il a une technique bien particulière. Il reprend le principe des friteuses dans laquelle « vous remplacez la pomme de terre par la boue et l’huile par des effluents graisseux et vous chauffez à 140 °C. Cela forme comme un churros ».

    Dit autrement, les boues sont séchées et imprégnées d’huile pour être transformées en un combustible compact et facilement valorisable, et qui peut fournir, selon la start-up créée en 2015, plus d’énergie qu’il n’a été nécessaire (en brûlant, ce combustible fournirait jusqu’à 7,5 fois plus d’énergie que ce qu’il a consommé pour être produit).

     « Dans la boue on a une part de carbone considérable de 40 à 45 % et ce carbone, séché et reconditionné, s’avère être un combustible intéressant », avec un pouvoir calorifique qui serait équivalent à celui du bois de chauffage. Sans dégager ni poussières ni odeurs. « Les techniques de séchage existent depuis longtemps mais les plus récentes demeurent peu opérationnelles » désamorce-t-il.

    La jeune société, qui a planché pendant quatre ans à la R&D menée avec IFP Energies nouvelles et bénéficié du soutien financier des PIA (Investissements d’avenir), a lancé un premier pilote pour alimenter une chaudière biomasse.

    « Nous avons trouvé le site idéal, pas sur ce territoire hélas, mais sur la plateforme chimique du Roussillon, ancien site de Rhône Poulenc où sont installés aujourd’hui une quinzaine d’industriels. Cela a un double avantage : la plateforme dispose de son propre réseau de collecte d’eau résiduels et depuis quelques années, les industriels installées ont mis en œuvre une chaudière biomasse pour produire la vapeur dont ils ont besoin ».

    Mieux, car « ce qui coûte cher, c’est de faire chauffer l’huile », l’énergie de la vapeur produite est récupérée par compression pour servir au chauffage de l’huile. Cette solution permet de diviser par quatre la consommation énergétique par rapport aux procédés traditionnels de séchage.

    « Le churros », dans les pires des cas, part en cimenterie. Mais à Roussillon, il va être réutilisé dans la chaudière biomasse. « On est en train de réfléchir pour voir si cela ne peut pas se substituer directement sur les chaudières charbon (qui servent à produire de la vapeur, ndlr) ».

     

    Helio Pur Technologies : Utiliser le soleil et le CO2 pour éradiquer les polluants

     

    L’entreprise de Pertuis (Vaucluse), créée en 2011 par Laurent Sohier, un ancien d'Areva, n’est pas une inconnue sur le territoire. Ses installations de recyclage d’eau exploitent un principe breveté depuis fin 2015 : la purification bio-solaire. Cette technologie permet d’éliminer une large gamme de substances dangereuses et de contaminants microbiens par l’action de photosynthèse des micro-organismes, grâce à l’action combinée du soleil et du CO2 injecté dans un circuit tubulaire.

    Sans consommer beaucoup d’énergie ni requérir une logistique lourde, les stations de l’entreprise pourraient traiter de 1 à 10 000 m3 d’eaux usées par jour d’origine domestique, agricole ou industrielle avec un taux de transformation proche de 100 %.

    En effet, l’eau (non potable) peut être réutilisée pour l’irrigation agricole, l’arrosage d’espaces verts, le nettoyage de rue ou de véhicules, le rechargement de nappes, la lutte incendie ou tout simplement le recyclage à l’identique, tandis que les nutriments contenus dans les déchets servent d’engrais.

    L’entreprise, qui sort de plusieurs années de prototypage, a vendu l’an dernier une unité d’essais de recyclage de l’eau à une ferme laitière de 50 000 vaches au sud de Ryad (Arabie saoudite), qui consomme 16 000 m3 d’eau par jour. Elle a également implanté une de ses unités sur la station d'épuration de Meyrargues (dans les Bouches-du-Rhône), exploitée par la Société des eaux de Marseille (SEM). Helio Pur, qui estime son potentiel de marché à au moins 20 M€ d'ici à 2020, avait déjà installé un pilote en Espagne dans le cadre du projet Life Biosol Water Recycling.

     

    Green Cityzen : Optimiser l’arrosage grâce à la télé-relève

    Parmi les entreprises pionnières de l’IIot (Internet des objets industriel) pour l’environnement, la start-up toulonnaise (lauréate de la GreenTech verte du Ministère de l'Environnement en 2016) propose des solutions de monitoring via des capteurs connectés au cloud pour la gestion de l’eau, de l’air et des sols « afin d’optimiser les couts de maintenance des équipements, améliorer leur taux de disponibilité, augmenter la performance des infrastructures, réduire les déplacements »…

    Ainsi à Paris, l’entreprise, membre de l’écosystème de start-up partenaires de Cisco France qui expérimente sur 7 places parisiennes un réseau de caméras et de capteurs (Green Cityzen intervient, pour sa part, Place de la Nation), équipe des jardinières publiques avec des capteurs d’humidité LoRa ou SigFox, connectés à Internet, qui remontent en permanence des données. Ce dispositif aurait ainsi permis l’optimisation des tournées d’arrosages des jardiniers de la ville, qui arrosent quotidiennement à la main quelque 5 000 jardinières. Une économie de 46 % des déplacements des jardiniers aurait ainsi été constatée grâce à une cartographie.

    Ils ont en outre tiré de leur analyse des résultats intéressants pour diminuer la consommation. Une jardinière arrosée au moment optimal permettrait de baisser la température de 5,2° en moyenne. Grâce à sa solution, défend-elle, des tas d’usages deviennent possibles : améliorer la maintenance des égouts, éviter le traitement chimique pour l’assainissement des eaux etc. etc.

     

    Newsteo : Le « profiler » thermique des bâtiments

    La société de La Ciotat, qui conçoit et vend des systèmes de mesure sans-fil à des fins de traçabilité, d’alerte et de supervision, a été cofondée par deux « experts de l’électronique », Philippe Guénebaud (25 brevets enregistrés à son actif) et Franck Przysiek, dont les chemins se sont croisés à un moment chez SCM Microsystems France.

    Les solutions que la PME (plus d’1,5 M€ de CA dont un quart à l’international) permet, par exemple, la surveillance de la température, de l’humidité, de chocs… dans différents milieux et environnements à risque (surveillance de denrées alimentaires, produits pharmaceutiques, pathologie des bâtiments anciens…), notamment dans les secteurs de l'agroalimentaire, la santé et le BTP.

    L’entreprise déploie actuellement sa dernière solution développée : la réalisation de la cartographie thermique des bâtiments via la pose de plusieurs capteurs, dont on perçoit les usages à des fins d’optimisation de la consommation énergétique

     

    SADE : Transformer les eaux usées en énergies

     

    Les eaux usées, une manne avec des calories énergétiques, abondantes renouvelables et gratuites ? C’est en tout cas ce que veut démontrer la société Sade avec sa solution Energido, brevetée et développée avec Veolia Eau et Dalkia. L’innovation de la spécialiste en conception-construction et maintenance des réseaux d’eau du groupe Veolia vise à récupérer les calories des eaux usées, en tous points des réseaux d’assainissement, pour les transformer en énergie « là où elle est disponible et utilisable ».

    Le système s’appuie sur un échangeur thermique spiralé, qui transfère les calories des eaux usées (détournées au moyen d’une dérivation) vers un fluide caloporteur, lequel les convoie vers une pompe à chaleur. Celle-ci se charge alors de générer la chaleur nécessaire au chauffage ou à la production d’eau chaude sanitaire et/ou au froid pour la climatisation.

    Le nouvel éco-quartier Cap Azur à Roquebrune-Cap Martin utilise notamment à ce procédé et a eu, pour ce faire, recours à 14 pompes à chaleur réparties dans sept bâtiments. Les calories des eaux usées traitées sont prélevées sur la conduite de rejet de la station d’épuration communale pour fournir l’eau chaude sanitaire, le chauffage en hiver et la climatisation en été à 300 logements.

    Le Centre nautique d’Arras ou le Cercle des Nageurs de Marseille sont aussi clients. Le système permettrait au bassin nautique sans doute le plus célèbre une économie de 35 % sur la facture énergétique annuelle.

     

    G2C ingénierie : Permettre la gestion patrimoniale des réseaux

    Implantée à Venelles, G2C ingénierie, spécialisée dans la gestion patrimoniale des réseaux pour le compte de collectivités publiques, est l’une des sociétés du groupe indépendant Altereo (14 M€ de CA, 180 salariés) créé par Christian Laplaud. Avec son projet SEPPRI (Système d’évaluation pour la programmation et la planification du renouvellement des infrastructures), l’entreprise de Venelles fut l’une des 63 lauréates des appels à projets financées dans le cadre du PIA (Investissements d'avenir) Eau et Biodiversité.

    Pour inciter les collectivités à avoir une gestion patrimoniale des réseaux (beaucoup d’entre elles ne connaîtraient pas la valeur comptable de leurs immobilisations), qui devient nécessaire et stratégique dans un contexte de regroupement des autorités régulatrices de l’assainissement,  le bureau d’études a développé dernièrement un système d’informations géographique (SIG) spécifique à l’assainissement ainsi qu’un logiciel d’aide à la décision capable d’analyser les résultats des inspections par caméra et de prioriser les tronçons à inspecter.

    Selon le dernier rapport national de l’observatoire des services publics d’eau et d’assainissement, publié en mai 2017, la localisation des branchements et la caractérisation des compteurs ne sont peu ou pas connus pour un tiers des 4 460 services observés (soit la moitié du linéaire du réseau français) et moins de la moitié des réseaux aurait été étudiée en vue de l’établissement d’un programme de renouvellement.

    Le SIG est un outil vendu auprès des collectivités sur abonnement forfaitaire et leur permet « en toute simplicité et sécurité » de gérer leur réseaux d’eau potable, d’assainissement mais aussi d'éclairage public ou cadastre. « Chaque utilisateur accède sur son navigateur web à ses applications métiers en se libérant de toutes contraintes informatiques. L’interopérabilité avec la plupart des solutions du marché donne enfin aux collectivités leur souveraineté numérique. Plus besoin d’acquérir des licences avec les contraintes associées (maintenance, infrastructure informatique, compétences en interne, etc.). Ce système basé sur des composants et technologies "open source" est une reéelle alternative aux offres concurrentes du marché, pour l’essentiel anglo-saxonnes », liste le communiqué de presse.

     

    ChlEAUé : La première SCIC fondée autour des enjeux du petit cycle de l'eau ?

    « Les ressources financières nécessaires aux investissements pour l'entretien et le développement des infrastructures sont de plus en plus difficiles à mobiliser. La contribution financière des Agences de l'Eau sous la tutelle de l’État pour le fonctionnement des services d'eau potable et d'assainissement tend progressivement à diminuer. Les règlementations liées à la gestion de l’eau qui visent à lutter contre la pollution, à préserver la ressource, protéger les milieux aquatiques, sont de plus en plus strictes. Dans ce contexte, il est plus que jamais nécessaire d’élaborer des véritables stratégies pour maintenir un fonctionnement pérenne et performant des services de gestion des eaux », défendent les trois fondateurs de cette SCIC de 25 associés, originellement créée sous forme d’association.

    L'entreprise, implantée en Arles, revendique être la première SCIC (Société coopérative d'intérêt collectif) de France fondée autour des enjeux du petit cycle de l'eau. Le petit cycle de l’eau, en somme la gestion locale de l’eau, doit se comprendre par rapport au « grand cycle de l’eau » : la Gemapi ou gestion des milieux aquatiques et prévention des inondation (122 territoires à risque important identifiés en France), compétence obligatoire qui devra également être transférée à un niveau intercommunal au 1er janvier 2018.

    ChlEAUé (il faut prononcer « Chloé ») rassemble les différentes partie-prenantes des services d'adduction en eau potable et d'assainissement et propose des services de conseil et d’expertise à destination des gestionnaires (communes, établissements publics de coopération intercommunale...) ou propriétaires d'installations de pompage et de traitement d'eau.

     

    La filière à Tel Aviv

    « Il y a inéluctablement un savoir-faire sur ce territoire lié à l’eau. Il faut maintenant aider à s’internationaliser », indique Philippe Zichert, élu à la CCI Marseille Provence. C’est à cette fin qu’une délégation provençale sera conduite pour le Watec, le rendez-vous biennal de référence sur les technologies de l’eau, de l’énergie et de l’environnement, du 12 au 14 septembre prochains à Tel Aviv, annonce-t-il.

    Le forum, qui réunit toute la communauté du secteur de l’eau, n’échappera pas au champ sémantique de la transition numérique et écologique. Il sera question d’optimisation, de transparence, de vitesse, de capteurs …Le Palais des Congrès accueillera aussi cette année un sommet CleanVest sur les défis auxquels fait face la communauté des investisseurs dans le secteur de l’eau.

    Comme une occasion supplémentaire de jeter les bases des futures collaborations, est-il espéré.

     

    Adeline Descamps

     

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