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Un euro détenu par la CCIAMP génère 7,3 euros pour le territoire

Evaluée en 2016, 2018 et 2019 par le cabinet Goodwill Management, la CCIAMP enregistre une belle progression en termes d’empreinte économique : chiffrée à plus d’un milliard d’euros en 2019, elle a cru de 20% par rapport à 2016. Un euro de ressource en génère ainsi 7,3 sur le territoire... C’est bel et bien la validation d’un modèle.
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    Vendredi 19 mars 2021

    L'étude du Cabinet Goodwill Management a été présentée le 19 mars dans le cadre d'une conférence de presse, en présence de Arnaud Bergero, directeur de l'étude. 

     

    Oui, la CCIAMP est utile au territoire, et celui qui le dit, c’est le cabinet Goodwill Management. Depuis 2016 en effet, cette entité mesure chaque année l’évolution de l’empreinte économique de la Chambre. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle performe : cette empreinte est passée de 855 M€ en 2016 à 1,027 Md en 2019. « Avec un euro de ressources, celles-ci se chiffrant à 140 M€, la Chambre en génère 7,3 sur le territoire », annonce ainsi Arnaud Bergero, responsable de l’étude au sein du cabinet. En trois ans, il s’agit donc d’une croissance de près de 20%... alors que dans le même temps, le niveau de revenu fiscal issu de la TFC a observé le mouvement inverse, se réduisant de quelque 33% (de 27M€ à 18M€ entre 2016 et 2019). « Ce qui pourrait être interprété comme une défiance vis-à-vis du monde consulaire, d’où l’importance de prouver l’efficience de notre modèle », appuie le président Jean-Luc Chauvin.

     

    Mais ce 19 mars, preuve a été faite par les résultats de cette étude, appuyés par les élus de la Chambre, que le modèle est efficient. Philippe Zichert, président de la commission des finances, revient ainsi sur la « transformation » à l’œuvre pour « passer de la subvention à une véritable réorganisation ». Au cœur de cette stratégie, une « maximisation des produits que l’on propose, un développement des produits commercialisés pour les entreprises et les commerçants ». 

     

    Efficiente auprès des entreprises

    Il y a l’appui aux entreprises, évoqué Nicolas Chabert, membre de la CCIAMP, avec l’objectif de début de mandat de faire de la CCIAMP « une vraie chambre d’entreprendre ». Cela passe notamment par « une meilleure compréhension des acteurs du territoire, via des ateliers de co-construction ». Ceux-ci aboutissant à des démarches concrètes, tel le Métropolitain Business Act.

    Second pilier, la formation et l’insertion, sur lesquels « l’offre est plus développée, plus attentive aux besoins, ceux d’aujourd’hui mais aussi de demain », observe le vice-président Fabrice Alimi. L’Ecole Pratique a ainsi vu son nombre d’élèves augmenter de façon conséquente. Offre non seulement en formation initiale mais aussi continue, « ce qui permet aussi aux collaborateurs de monter en compétences ». Et aux dirigeants, de trouver les bonnes ressources, condition sine qua non « pour faire gagner le territoire en compétitivité ». Parmi les écoles de la Chambre, il y a aussi Kedge Business School, dont le Directeur Général, Alexandre de Navailles, a prouvé lui aussi l’efficience économique. « 80 start-up se sont créées au sein de l’Ecole et près de 45 M€ de fonds ont été levés », note-t-il. 

     

    1,4 Mds€ d’empreinte économique à 2030

     

    Dernier pilier, l’accompagnement du territoire (infrastructures et écosystèmes) avec une volonté, décrite par le vice-président Laurent Amar : « le mettre aux standards internationaux ». La CCIAMP agit pour ce faire via « la gestion d’équipements, tels l’aéroport ou le port de l’anse de la réserve », une activité propre à faire émerger des écosystèmes. Ainsi cet environnement, devenu plus attractif, « favorise l’envie de venir chez nous, ou d’y rester pour grandir ».

     

    Une belle performance donc, qui se poursuivra dans les années à venir, puisque selon les estimations de Goodwill Management, « on observe un potentiel de 375M€ supplémentaire d’activités sur le territoire à horizon 2030 et une projection à plus de 1,4 Mds€ d’empreinte économique », ce grâce à une pluralité de projets, note Arnaud Bergero. Parmi ces derniers, la transformation du Palais de la Bourse « avec le restaurant, le lab et un espace de coworking, mais aussi l’agrandissement de Kedge, la poursuite des projets Henri Fabre ou Piicto », conclut Jean-Luc Chauvin.

     

     

    Légende photo (de g. à d.) : Laurent Amar, Vice-Président de la CCI métropolitaine Aix-Marseille-Provence, Jean-Luc Chauvin, Président de la CCI métropolitaine Aix-Marseille-Provence, Arnaud Bergero, Responsable de l'étude au sein du Cabinet Goodwill Management, Nicolas Chabert, Membre de la CCI métropolitaine Aix-Marseille-Provence et Fabrice Alimi, Vice-Président de la CCI métropolitaine Aix-Marseille-Provence. 
    Crédit photo : Justine Gabriel / CCIAMP

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